Non, je ne suis pas d'accord (sourire). Le NON peut-être un OUI qui doute, qui se cherche ou s'ignore, qui espère.... donnons-lui une seconde chance. Le NON aussi peut révéler cinquante nuances :) Bon samedi, Dad. Bise franche.
> Julie : Si j'ai bien compris : OUI et NON ? OUI est NON ? et NON pourrait être OUI ? Mmm… Pourquoi pas ? Tout est possible. Et son contraire. Bises franc…comtoises.
Merci pour ta réponse, Julie. :-) Oui Dad, les pauses sont parfois nécessaires, j'en fais régulièrement moi aussi d'ailleurs. Belle fin de dimanche à vous deux.
C'est mieux avec un sourire, et un minimum d'explications, pour que les choses soient clarinettes, qu'un non brutal et sans explication, qui ne générera que des sentiments négatif :-)
La clarification, je partage ton avis, est indispensable. Il s'agit parfois d'enrober le refus, pour ménager l'autre. Le sourire, c'est mieux, ça dore joliment la pilule, mais ça dépend de ce qu'on est amené à refuser, il y a des refus qui se suffisent à eux-mêmes. Paul Valéry disait : "L'homme vraiment libre est celui qui sait refuser une invitation à dîner sans donner de prétexte". Peut-être que nous sommes rarement libres en matière de vie sociale ? (Combien d'excuses fabriquées en guise d'explications, que l'autre croit plus ou moins ?) Une exception, je crois : les relations sentimentales, qui demandent qu'on prenne des gants pour ne pas blesser, pour bien clarifier qu'on ne rejette pas la personne, mais qu'on refuse ce type de relation. Merci pour ton passage, Pascal, bonne soirée et bon dimanche
J'ai mis des années à apprendre à dire NON. Je disais : oui, ou je ne sais pas. Quel plaisir de savoir dire NON ! :-) Belle soirée, Dad, et un beau dimanche.
Je me référais ici à une personne qui avait l'intention de refuser, mais n'osait pas le faire directement et tergiversait, se justifiait, bredouillait. Ce genre d'attitude peut être très déplaisante, car elle fait perdre du temps à l'autre (qui peut sentir aussi un manque de respect ?). Il est nécessaire de savoir dire non, de savoir être clair. Mais, et je l'ai réalisé en écrivant, pour savoir dire non, il faut aussi être capable d'entendre "non". Et beaucoup de gens, je crois, ont peur des refus. Ils se sentent blessés ou rejetés, comme si le refus de la demande était un refus de leur personne. Or, savoir dire et entendre "non", c'est le seul moyen pour dire vraiment "oui" quand on accepte, et de croire le "oui" qu'on reçoit. La clarté est une forme d'égard, envers les autres, certes, mais envers soi-même surtout. Beau dimanche, chère Françoise.
Le fait de dire NON peut aussi créer la peur de ne plus être aimé(e), la peur du rejet, oui. Alors que cela peut au contraire apporter un autre regard sur la personne, un regard plus respectueux. Belle soirée à toi, chère Dad.
Non, je ne suis pas d'accord (sourire).
RépondreSupprimerLe NON peut-être un OUI qui doute, qui se cherche ou s'ignore, qui espère.... donnons-lui une seconde chance.
Le NON aussi peut révéler cinquante nuances :)
Bon samedi, Dad. Bise franche.
Tu as fermé ton blog, Julie ?
SupprimerOui, ma chère Françoise :)
SupprimerBesoin d'une petite pause virtuelle, mais je vais continuer à visiter mes ami(e)s .
A bientôt Françoise. Bisous.
> Julie : Si j'ai bien compris : OUI et NON ? OUI est NON ? et NON pourrait être OUI ? Mmm… Pourquoi pas ? Tout est possible. Et son contraire. Bises franc…comtoises.
SupprimerLes pauses sont parfois nécessaires pour reprendre souffle et élan. Pour retrouver le sens. Beau dimanche depuis les étendues immenses du Jura.
SupprimerMerci pour ta réponse, Julie. :-)
SupprimerOui Dad, les pauses sont parfois nécessaires, j'en fais régulièrement moi aussi d'ailleurs.
Belle fin de dimanche à vous deux.
C'est mieux avec un sourire, et un minimum d'explications,
RépondreSupprimerpour que les choses soient clarinettes,
qu'un non brutal et sans explication,
qui ne générera que des sentiments négatif
:-)
La clarification, je partage ton avis, est indispensable. Il s'agit parfois d'enrober le refus, pour ménager l'autre. Le sourire, c'est mieux, ça dore joliment la pilule, mais ça dépend de ce qu'on est amené à refuser, il y a des refus qui se suffisent à eux-mêmes. Paul Valéry disait : "L'homme vraiment libre est celui qui sait refuser une invitation à dîner sans donner de prétexte". Peut-être que nous sommes rarement libres en matière de vie sociale ? (Combien d'excuses fabriquées en guise d'explications, que l'autre croit plus ou moins ?)
SupprimerUne exception, je crois : les relations sentimentales, qui demandent qu'on prenne des gants pour ne pas blesser, pour bien clarifier qu'on ne rejette pas la personne, mais qu'on refuse ce type de relation.
Merci pour ton passage, Pascal, bonne soirée et bon dimanche
J'ai mis des années à apprendre à dire NON. Je disais : oui, ou je ne sais pas. Quel plaisir de savoir dire NON ! :-)
RépondreSupprimerBelle soirée, Dad, et un beau dimanche.
Je me référais ici à une personne qui avait l'intention de refuser, mais n'osait pas le faire directement et tergiversait, se justifiait, bredouillait. Ce genre d'attitude peut être très déplaisante, car elle fait perdre du temps à l'autre (qui peut sentir aussi un manque de respect ?). Il est nécessaire de savoir dire non, de savoir être clair. Mais, et je l'ai réalisé en écrivant, pour savoir dire non, il faut aussi être capable d'entendre "non". Et beaucoup de gens, je crois, ont peur des refus. Ils se sentent blessés ou rejetés, comme si le refus de la demande était un refus de leur personne. Or, savoir dire et entendre "non", c'est le seul moyen pour dire vraiment "oui" quand on accepte, et de croire le "oui" qu'on reçoit. La clarté est une forme d'égard, envers les autres, certes, mais envers soi-même surtout. Beau dimanche, chère Françoise.
SupprimerLe fait de dire NON peut aussi créer la peur de ne plus être aimé(e), la peur du rejet, oui. Alors que cela peut au contraire apporter un autre regard sur la personne, un regard plus respectueux.
SupprimerBelle soirée à toi, chère Dad.