Les grands ciels tout bleus sont des versions minimales et le ciel d'ici le sait bien, qui n'aime guère paresser et s'en voudrait d'ennuyer. Alors, on se retrouve toujours à chercher, avec un brin d'émotion et de perplexité. On cherche, on trie, on assemble des pièces, on emboîte des bouts de nuages, de ciel et de Jura, on reconstitue patiemment le puzzle à chaque fois.
Probablement faisaient-ils choses semblables, nos très anciens lointains ancêtres, et pas que les gaulois qui craignaient la chute des cieux.
RépondreSupprimerOn est même tellement persuadé de la nécessité du mystère des nuées, qu'on a fait de « là-haut » la résidence de tous les dieux !
En guise de réponse, te confierais un secret : il m'arrive de souhaiter passer ici toute une journée immobile à voir le ciel évoluer. Et je crois que le jour où je le ferai je ne trouverai pas une minute pour m'ennuyer! Nos ancêtres n'avaient pas de télé. Ils avaient bien mieux pour se distraire à longueur de journée!
Supprimerdes ciels poétiques je dirais
RépondreSupprimerpoétiques ? oui, et qui racontent des tas d'histoires
RépondreSupprimerLes nuages
RépondreSupprimertissent
un rideau de lumière
Des rideaux de lumière, oui, et des flammes bleues dans le ciel. Sans compter tous les dragons, tous les monstres. Quels farceurs, ces nuages!
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