Le soir, quand le dernier des rares baigneurs la quittait,
la piscine, loin de se sentir abandonnée,
entamait un dialogue avec les arbres et la lavande
dont les brins délicats la parfumaient.
Le ciel venait mettre son grain de sel.
Les branchages, curieux, renchérissaient.
Quels propos ce petit monde tenait-il ? qui le sait ?
Toujours est-il que le nuage, en s'éloignant, rosissait...
On ignore les propos, mais j'ai ma petite hypothèse... un peu eaudacieuse, certes.
RépondreSupprimerLes sveltes branchages, lavande et autres curieux se moquaient (gentiment) de la rétention d'eau à se pauvre nuage :)
Bon dimanche Dad, tu es la reine des belles descriptions.
"de ce pauvre nuage"
RépondreSupprimerChère Julie, tu es la reine des compliments. Beaux orages, belles soirées.
RépondreSupprimerDes reflets
RépondreSupprimerqui nous mettent
la tête à l'envers
Et nous fonts plonger
dans le ciel
comme dans une piscine
De quoi nous rafraichir, par 36° à l'ombre!
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