Quand, au matin, nous parvenons sur le plateau désert
habité de cris, de chants, de hululements,
de craquements, de froissements, de hennissements
nous plongeons dans un conte où règnent
les bonnes fées, les renardeaux, les biches
nous rentrons dans un album jauni par le colza
où le manque, la peur et le désastre n'existent pas
Tiens, ça me manque les champs de colza dans le boulonnais, avec la mer à l'horizon, j'allais souvent par là-bas en cette saison « avant »… peut-être reverrai-je ces paysages dans quatre à cinq ans quand le confinement sera levé !
RépondreSupprimerLe Boulonnais, je ne connaissais pas. Suis allée voir. Une région magnifique, des paysages de toute beauté. Ai aussi découvert ces chevaux qu'on appelle "colosses en marbre blanc", des animaux splendides qui dégagent une force incroyable. Merci : grâce à toi je suis passée ce matin du lac aux grands espaces iodés. Belle journée.
SupprimerTes photos sont lumineuses, Dad. Lorsque nous marchons et qu'à notre vue s'étend un magnifique paysage, j'oublie parfois le confinement, et cela fait du bien.
RépondreSupprimerCes paysages quotidiens, on ne s'en lasse pas : toujours les mêmes et toujours changeants sous nos yeux épatés.
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