Atlas / Maroc / 2010
Parfois au réveil, parfois au moment du coucher
Parfois au cœur d’une conversation, en pleine méditation
Percevoir peu à peu, puis tendre l’oreille, subjuguée,
Happée par ces sons flottants, émouvants, fendant les airs.
Happée par ces sons flottants, émouvants, fendant les airs.
Savoir écouter... ce n'est pas donné à tout le monde. Même quand certains se taisent, ils n'arrivent pas à écouter, ni même à entendre. Bises alpines et belle semaine.
RépondreSupprimerLe chant du muezzin - les chants parfois, provenant de plusieurs mosquées, quasi simultanés- m'ont toujours intensément émue. Comme Allah est grand, quand son nom n'est pas associé à de la violence ou à des aberrations! Belle soirée, belle nuit, bon lundi, chère Dédé!
RépondreSupprimerJe me rappelle les chants des muezzins à Istanbul. J'avais enregistré sur mon natel de l'époque mais j'ai tout perdu. :-(
RépondreSupprimerZut alors! Il faut retourner de toute urgence là-bas!
RépondreSupprimer