jeudi 18 novembre 2021

Vivre : et pourquoi persister ?

 
Fontaine / Jardin du Luxembourg
 
Et pourquoi donc t'obstiner à chercher, revenir, insister ? Pourquoi donc ?
Alors qu'il te suffirait de lâcher, expirer, faire confiance et laisser couler ? 

4 commentaires:

  1. Bien souvent les réponses à ce genre de questions comportent à un endroit ou un autre le mot « peur ».
    Et l'intérêt pour le ressenti sous-jacent à ce mot peut-être une bonne porte d'entrée… pour s'en sortir !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Peur, oui, volonté mal placée, exigences trop élevées...... en ce qui me concerne, l'autre jour, j'ai carrément lâché, abandonné, mis en stand by. Et... dans l'heure qui a suivi, ce qui était si bloqué a trouvé une solution instantanée... De quoi démentir l'adage "quand on veut on peut" : c'est justement quand on ne veut plus qu'on peut enfin!!!

      Supprimer
  2. Quoi de plus difficile que de lâcher prise? Il est probable que les injonctions parentales, sociétales, culturelles ou autres ajoutées à la personnalité jouent dans la volonté de contrôle. Que de difficultés à s’en libérer.
    Et puis la peur, peur de perdre le contrôle, de perdre le contrôle de sa vie. Trop d’exigence ou de perfectionnisme, de culpabilité, de doute, d’autoflagellation ou de culpabilité, problème d’estime de soi.
    Lâcher prise est une véritable liberté devant l’impermanence de la vie.
    Merci de tendre tant de perches! Belle soirée.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Le lâcher-prise... un des marqueurs de la bonne santé. Vous avez raison de le mettre en exergue. Votre liste de ce qui empêche d'y parvenir est... quasiment complète. J'ajouterais seulement une notion primordiale comme antidote à ce genre de blocages : la joie, la joie qui se fout de la perfection et qui se moque des regards. La joie de vivre et le lâcher-prise, oui, décidément de bons marqueurs de santé!

      Supprimer