La fille de Jephté / J.H. Fabisch / Musée Granet / Aix-en-Pce
Et pourquoi aller s'embourber, aller là où c'est compliqué, givré, mal embouché, pourquoi ?
Pourquoi ne pas se diriger instinctivement, impérativement vers la simple, la pure, l'ineffable joie?
Et si l'ineffable joie, était le fruit de sortir de là où on s'est embourbé ?
RépondreSupprimerÀ condition d'en sortir…
Je suppose que tu n'as pas choisi une représentation de la fille de Jephté par hasard ?… La victoire… et puis le sacrifice de sa fille… (la pauvre d'ailleurs c'est elle qui subit… ça en dit long du regard sur les femmes en ce temps-là…).
N'empêche merci pour les deux questions qui donnent à réfléchir…
je pense à des personnes que j'ai aidées (et à d'autres) et qui avait l'art subtil de choisir ce qui allait en rajouter une couche.
Je pense aussi à moi-même… évidemment…
Ah! pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? Pourquoi aller se mettre dans un bourbier ? Pourquoi aller se flageller ? Pourquoi pourquoi pourquoi ? Tant de questions qu'on peut être amené à se poser (et c'est vraiment utile de se les poser).
SupprimerTa première phrase : "Et si l'ineffable joie, était le fruit de sortir de là où on s'est embourbé ?" me rappelle une amie qui aimait dire : "c'est si bon, la migraine, quand ça prend fin". Se mettre dans les emm... pour la pure joie d'en sortir un jour ?
Ce petit post m'a été inspiré parce que j'avais trouvé une solution tellement évidente... après m'être posé les questions ci-dessus!
Belle soirée à toi.
PS : cette fille de Jephté me plait non pas à cause de son histoire, mais parce qu'elle a l'air de s'enfuir, de fuir à belles foulées le sort qu'on lui a réservé!