Apprendre à gérer ses frustrations… peut-être l'œuvre du toute une vie ! En n'oubliant pas le diplôme de troisième cycle : savoir ne pas emmerder les autres avec ses propres frustrations…
Une œuvre plus facile à entreprendre et à réussir quand les parents vous mettent le pied à l'étrier avec bienveillance dès l'âge de... deux ans ? Sans oublier la thèse et le doctorat : prendre avec philosophie Tout ce qui se présente... Remercions ce fichu Covid, professeur émérite en frustratiologie!!! Belle soirée à toi!
La frustration, mélange de tristesse et de colère. Deux réactions possibles face à la frustration. Soit, on l’accueille avec bienveillance, avançant plus sereinement pour la dépasser et grandir, soit, on la refoule et on ne peut la dépasser, ruminant, ressassant de façon peu constructive. S’adapter en toute chose, prendre de la distance. Accueillir et laisser aller. Tout un programme. Ici, un temps bien gris, un je ne sais quoi de crachin breton. Bonne fin de dimanche.
La frustration nait aussi des limites qui sont posées de l'extérieur et contre lesquelles on ne peut rien (c'est autre chose qu'une contrariété ou une difficulté et c'est important de savoir distinguer). La frustration, c'est se heurter à un refus de la part du réel et au devoir de l'accepter. Quand on ne l'accepte pas, on est en rage et cette rage n'aboutit à rien. En revanche, une difficulté peut susciter de la colère, qui bien gérée et bien comprise, peut aboutir à qqch de constructif. (hélas, ni la petite fille ni la vieille dame ne semblaient vouloir accepter les refus qui se présentaient...) Ici, de beaux mouvements de nuages et par moments l'impression que la neige est sur le point de se montrer (grisaille et lassitude musculaire). Un temps à trier ses pullovers et à ranger définitivement ses baskets (snif!) Douce soirée.
Apprendre à gérer ses frustrations… peut-être l'œuvre du toute une vie !
RépondreSupprimerEn n'oubliant pas le diplôme de troisième cycle : savoir ne pas emmerder les autres avec ses propres frustrations…
Une œuvre plus facile à entreprendre et à réussir quand les parents vous mettent le pied à l'étrier avec bienveillance dès l'âge de... deux ans ?
SupprimerSans oublier la thèse et le doctorat : prendre avec philosophie Tout ce qui se présente...
Remercions ce fichu Covid, professeur émérite en frustratiologie!!!
Belle soirée à toi!
La frustration, mélange de tristesse et de colère. Deux réactions possibles face à la frustration. Soit, on l’accueille avec bienveillance, avançant plus sereinement pour la dépasser et grandir, soit, on la refoule et on ne peut la dépasser, ruminant, ressassant de façon peu constructive.
RépondreSupprimerS’adapter en toute chose, prendre de la distance. Accueillir et laisser aller. Tout un programme.
Ici, un temps bien gris, un je ne sais quoi de crachin breton.
Bonne fin de dimanche.
La frustration nait aussi des limites qui sont posées de l'extérieur et contre lesquelles on ne peut rien (c'est autre chose qu'une contrariété ou une difficulté et c'est important de savoir distinguer). La frustration, c'est se heurter à un refus de la part du réel et au devoir de l'accepter. Quand on ne l'accepte pas, on est en rage et cette rage n'aboutit à rien. En revanche, une difficulté peut susciter de la colère, qui bien gérée et bien comprise, peut aboutir à qqch de constructif. (hélas, ni la petite fille ni la vieille dame ne semblaient vouloir accepter les refus qui se présentaient...)
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