La balade est toujours la même, c'est l'humeur des nuages, ou la mienne, qui varient de fois en fois. Aujourd'hui, impossible de ne pas penser à ce peintre d'une sublime humilité, un type qui ne devait pas beaucoup se pousser du col et qui suivait sa route, indépendamment des modes et des sillons que d'autres se traçaient vers leur impressionniste renommée : mon vénérable, mon très estimable Corot.
Une matinée. La danse des nymphes / J-B C Corot / Musée d'Orsay / exposition Corot au musée Marmottan en 2018
De la passion
RépondreSupprimerplein les yeux et le cœur
à tel point, que nous finissons par la voir
vivre tout autour de nous
:-)
que l'importance soit dans ton regard et non dans la chose regardée... Gide avait raison. C'est nous qui construisons notre monde. Du moins en bonne partie. Belle journée, Pascal.
SupprimerJe t’imagine danser avec R. sous les arbres
RépondreSupprimer:-) :-) :-)
ah ah ah ! ça c'est bien une chose que je n'ai jamais su faire... mais, qui sait, peut-être qu'un jour je m'y mettrai...
SupprimerLe paysage n'est jamais le même et c'est souvent à cause du ciel et de ses humeurs. J'aime aussi beaucoup Corot qui nous emmène avec lui dans ses tableaux. Bises avec un brin de sel marin.
RépondreSupprimerCorot, pour moi, c'est un bonnet rouge de farfadet au milieu d'un paysage tranquille. C'est un univers inimitable, parce que lui-même n'a jamais voulu imiter qui que ce soit.
SupprimerSur quel îlot lointain es-tu donc allée défier les éléments, Dédé ? Je t'imagine escalader des volcans, des montagnes de terre noire surplombant l'océan. Mais peut-être que tu es seulement sur la Côte d'Azur, en train de boire du pastis et de jouer à la pétanque ? :) Quoi qu'il en soit, passe une toute belle journée.