Cela m'a fait penser à la chanson « Nul ne guérit pas de son enfance » de Jean Ferrat. Pas tellement le titre toujours repris en refrain, mais l'ensemble des paroles très belles cette chanson si évocatrice de cette avancée vers le passé. J'espère que tu as fait un très beau voyage.
J'ai lu les paroles : magnifiques. En fait, en retournant aux lieux, aux sensations, aux saveurs de mon enfance, je n'ai pas tellement l'impression de retourner vers le passé. Non : j'ai l'impression de retourner chez moi, de boucler la boucle, de mieux me comprendre. C'est le contraire d'une fuite en avant. Je comprends mieux qui je suis. Ceux qui perdent leur enfance de vue risquent fort de... se perdre de vue, tout simplement. (cela dit, le voyage fut beau et dense, mais triste aussi : arriver et trouver une société masquée, partout, même sur les rives des fleuves, et de tout petits déjà masqués m'a profondément marquée... les voyages au temps du Covid nous apprennent des choses désolantes... Heureusement, les Italiens savent rire, encore, heureusement)
Aller à la rencontre de l'enfant intérieur.......
RépondreSupprimerOui, par les sons, les odeurs, les souvenirs qui émergent et nous ramènent au centre de nous-même. Belle journée.
SupprimerCela m'a fait penser à la chanson « Nul ne guérit pas de son enfance » de Jean Ferrat. Pas tellement le titre toujours repris en refrain, mais l'ensemble des paroles très belles cette chanson si évocatrice de cette avancée vers le passé.
RépondreSupprimerJ'espère que tu as fait un très beau voyage.
J'ai lu les paroles : magnifiques.
SupprimerEn fait, en retournant aux lieux, aux sensations, aux saveurs de mon enfance, je n'ai pas tellement l'impression de retourner vers le passé. Non : j'ai l'impression de retourner chez moi, de boucler la boucle, de mieux me comprendre. C'est le contraire d'une fuite en avant. Je comprends mieux qui je suis. Ceux qui perdent leur enfance de vue risquent fort de... se perdre de vue, tout simplement.
(cela dit, le voyage fut beau et dense, mais triste aussi : arriver et trouver une société masquée, partout, même sur les rives des fleuves, et de tout petits déjà masqués m'a profondément marquée... les voyages au temps du Covid nous apprennent des choses désolantes... Heureusement, les Italiens savent rire, encore, heureusement)
Belle soirée.