Coucou. Tout d'abord, la photo! Une petite merveille de poésie, avec ce brouillard qui hante la forêt et le chien qui se distingue à peine mais qui est là et donne une touche de vitalité à l'ensemble.
Et puis le texte, mystérieux aussi, comme la photo, qui en peu de mots, décrit un souvenir triste, une solitude bien que le protagoniste soit accompagné et ces fifres au loin (fête de l'Escalade?). La couleur des mocassins, bien qu'éclatante, n'arrivera pas à réchauffer la froide atmosphère.
Quant au sens de ces quelques mots, il reste caché, comme si l'histoire ne faisait que commencer. Et cela me renvoie au titre qui laisse présager d'autres épisodes.
(j'adore, même dans la peinture de la Renaissance, la perspective atmosphérique, empreinte de poésie et laissant place à l'imaginaire) Bien qu'assez déçue par la Biennale de Lyon 2019, je suis rentrée impressionnée par le travail de Lee Kit, un artiste chinois qui allie les paysages et objets avec les émotions, conjugant image et texte. J'ai pensé à toutes ces phrases, bribes de souvenirs ou pensées, qui nous passent par l'esprit, tandis que nous vivons, et dont souvent nous ne nous rappelons plus quelques minutes après. J'en ai avais pas mal tu penses avec les balades que je fais. J'avais assez de matériel pour faire l'exercice. C'est donc un petit essai dans lequel je me lance. Un essai de mini tranches de vie, sans grande importance, mais qui racontent quand même quelque chose. Merci d'avoir compris! Beau vendredi!
La solitude, ce n'est pas être seul, mais se sentir seul. Grande différence, car dans le fond, selon le rapport que l'on entretient avec soi-même, être seul, c'est être en très bonne compagnie! Très belle après-midi, cher Pascal.
Ah ! Ces terribles sensations de solitude abyssale alors que l'on est « parmi les siens ». Les plus terribles peut-être, lorsque ceux et celles censées être les plus proches apparaissent comme perdu dans le lointain et même à tout jamais… comme si on se trouvait en face d'une vérité totale et incontournable : — me voici définitivement seul (e)
Alain... je suis époustouflée : tu as exactement compris. Je viens d'achever la série de 6 images (écriture quasi automatique, pas de plan ni d'intention) et j'en suis arrivée à la même conclusion que toi. Chapeau, Monsieur, et belle soirée!
Coucou. Tout d'abord, la photo! Une petite merveille de poésie, avec ce brouillard qui hante la forêt et le chien qui se distingue à peine mais qui est là et donne une touche de vitalité à l'ensemble.
RépondreSupprimerEt puis le texte, mystérieux aussi, comme la photo, qui en peu de mots, décrit un souvenir triste, une solitude bien que le protagoniste soit accompagné et ces fifres au loin (fête de l'Escalade?). La couleur des mocassins, bien qu'éclatante, n'arrivera pas à réchauffer la froide atmosphère.
Quant au sens de ces quelques mots, il reste caché, comme si l'histoire ne faisait que commencer. Et cela me renvoie au titre qui laisse présager d'autres épisodes.
Bises alpines et belle fin de semaine.
(j'adore, même dans la peinture de la Renaissance, la perspective atmosphérique, empreinte de poésie et laissant place à l'imaginaire)
SupprimerBien qu'assez déçue par la Biennale de Lyon 2019, je suis rentrée impressionnée par le travail de Lee Kit, un artiste chinois qui allie les paysages et objets avec les émotions, conjugant image et texte. J'ai pensé à toutes ces phrases, bribes de souvenirs ou pensées, qui nous passent par l'esprit, tandis que nous vivons, et dont souvent nous ne nous rappelons plus quelques minutes après. J'en ai avais pas mal tu penses avec les balades que je fais. J'avais assez de matériel pour faire l'exercice. C'est donc un petit essai dans lequel je me lance. Un essai de mini tranches de vie, sans grande importance, mais qui racontent quand même quelque chose.
Merci d'avoir compris! Beau vendredi!
Dans leur infinie tendresse,
RépondreSupprimerles arbres courbent leurs branches,
protégeant les promeneurs
de l'humeur brumeuse de ciel
:-)
:-) Quoi de plus beau qu'un arbre en hiver ? Réponse : un arbre dans le brouillard en hiver.
SupprimerLes divers
Supprimerarbres
d'hivers
nous enchantent
:-) :-) :-)
Parfois nous pouvons nous sentir moins seul,
RépondreSupprimerperdu dans la montagne,
que dans une rue commerçante un samedi après midi de décembre ;-)
La solitude, ce n'est pas être seul, mais se sentir seul. Grande différence, car dans le fond, selon le rapport que l'on entretient avec soi-même, être seul, c'est être en très bonne compagnie! Très belle après-midi, cher Pascal.
SupprimerAh ! Ces terribles sensations de solitude abyssale alors que l'on est « parmi les siens ».
RépondreSupprimerLes plus terribles peut-être, lorsque ceux et celles censées être les plus proches apparaissent comme perdu dans le lointain et même à tout jamais…
comme si on se trouvait en face d'une vérité totale et incontournable :
— me voici définitivement seul (e)
Alain... je suis époustouflée : tu as exactement compris. Je viens d'achever la série de 6 images (écriture quasi automatique, pas de plan ni d'intention) et j'en suis arrivée à la même conclusion que toi.
SupprimerChapeau, Monsieur, et belle soirée!
Très belle cette photo. Est-ce P. que l'on peut voir ? :-)
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