Coucou Dad. Vivre l'instant présent, apprécier ce qui nous est donné. Car plus tard, il sera peut-être trop tard. Aujourd'hui, je tente d'apprécier ce généreux soleil, cette neige qui scintille. Bien maladroitement car mon esprit est obnubilé par la rentrée de demain et son cortège... qui risque fort d'être fait de grandes déconvenues. Il va falloir remettre mon esprit dans le bon chemin. Bises alpines dominicales.
hello, ma Dédé, je rentre d'une belle balade revigorante, suggérée par la pleine lune, qui riait ce matin. Oui, il fait beau, un temps splendide qui nous pousse à profiter du présent avec... gratitude. Ces nuages de la pensée que tu évoques me rappellent tellement les dimanches soirs, ou les veilles de rentrée, quand je craignais ce qui se passerait le lendemain. Et je dormais mal... J'éprouvais énormément de difficultés à me faire confiance, à me dire "profite de l'instant présent, quoi qu'il arrive demain, tu saura faire face, tu le sais, tu l'as déjà prouvé mille fois". Car la confiance en nous-même pourrait nous permettre de profiter du présent, en ayant la certitude que nous sommes capables d'affronter les choses qui arriveront (du reste, je ne sais pas si tu l'as remarqué, mais les problèmes prévus ne se révèlent jamais comme tels, nous avons toujours à faire à d'autres difficultés). Alors, dédé, profite, profite de tes montagnes et de ce temps splendide, ne laisse pas l'hypothétique avenir te rapter la beauté de cette journée... avec ma gratitude pour tes passages sensibles. D.
Mieux vaudrait "pendant" que "trop tard", cependant. J'écoutais avant-hier une interview de Wiaz, qui disait regretter infiniment de n'avoir pas su exprimer son amour à son père (mort alors qu'il avait 14 ans). Il nous arrive trop souvent d'être absents, distraits, inconscients des perles que la vie nous offre. Et c'est souvent quand on les a perdues (qu'elles s'appellent "amour", "santé" ou "lien") qu'on réalise quels trésors on tenait entre les mains. Tant qu'on les a, cela nous semble aller de soi. .IL suffit que nous nous cassions une jambe pour que nous éprouvions la chance que cela représente de pouvoir marcher. La gratitude, c'est savoir ce que l'on a et en savoir gré à la vie. Les regrets, c'est quand on réalise qu'on l'a perdu et qu'on est impuissant à revenir en arrière. Belle journée, Pascal.
Coucou Dad. Vivre l'instant présent, apprécier ce qui nous est donné. Car plus tard, il sera peut-être trop tard. Aujourd'hui, je tente d'apprécier ce généreux soleil, cette neige qui scintille. Bien maladroitement car mon esprit est obnubilé par la rentrée de demain et son cortège... qui risque fort d'être fait de grandes déconvenues. Il va falloir remettre mon esprit dans le bon chemin. Bises alpines dominicales.
RépondreSupprimerhello, ma Dédé, je rentre d'une belle balade revigorante, suggérée par la pleine lune, qui riait ce matin. Oui, il fait beau, un temps splendide qui nous pousse à profiter du présent avec... gratitude. Ces nuages de la pensée que tu évoques me rappellent tellement les dimanches soirs, ou les veilles de rentrée, quand je craignais ce qui se passerait le lendemain. Et je dormais mal... J'éprouvais énormément de difficultés à me faire confiance, à me dire "profite de l'instant présent, quoi qu'il arrive demain, tu saura faire face, tu le sais, tu l'as déjà prouvé mille fois".
RépondreSupprimerCar la confiance en nous-même pourrait nous permettre de profiter du présent, en ayant la certitude que nous sommes capables d'affronter les choses qui arriveront (du reste, je ne sais pas si tu l'as remarqué, mais les problèmes prévus ne se révèlent jamais comme tels, nous avons toujours à faire à d'autres difficultés).
Alors, dédé, profite, profite de tes montagnes et de ce temps splendide, ne laisse pas l'hypothétique avenir te rapter la beauté de cette journée... avec ma gratitude pour tes passages sensibles. D.
Mieux vaut tard que jamais, dit le proverbe ;-)
RépondreSupprimerMieux vaudrait "pendant" que "trop tard", cependant.
SupprimerJ'écoutais avant-hier une interview de Wiaz, qui disait regretter infiniment de n'avoir pas su exprimer son amour à son père (mort alors qu'il avait 14 ans). Il nous arrive trop souvent d'être absents, distraits, inconscients des perles que la vie nous offre. Et c'est souvent quand on les a perdues (qu'elles s'appellent "amour", "santé" ou "lien") qu'on réalise quels trésors on tenait entre les mains. Tant qu'on les a, cela nous semble aller de soi. .IL suffit que nous nous cassions une jambe pour que nous éprouvions la chance que cela représente de pouvoir marcher. La gratitude, c'est savoir ce que l'on a et en savoir gré à la vie. Les regrets, c'est quand on réalise qu'on l'a perdu et qu'on est impuissant à revenir en arrière. Belle journée, Pascal.